Elèves 04 : Brésil

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Elèves 04 : Brésil

1974, Brésil

LE SOLEIL DE L’APRES-MIDI BAIGNAIT le campus de l’université fédérale de Rio de Janeiro, créant une atmosphère sereine, en contraste frappant avec le tumulte intérieur de Mariana. Âgée de dix-neuf ans, la jeune étudiante en première année de psychologie se tenait devant la porte du bureau du professeur Jorge Carvalho, le cœur battant la chamade. Dans son pantalon à patte d’éléphant et sa large chemise bariolée, Mariana, avec ses longs cheveux noirs ondulés, sa peau dorée et ses yeux marron, avait l’air plus jeune que son âge. Sa frêle silhouette tremblait légèrement alors qu’elle frappait à la porte, un geste rempli de désespoir et de peur.

– Entrez, dit une voix grave et posée de l’autre côté.

Mariana ouvrit la porte et entra timidement. Le professeur Carvalho, un homme de cinquante ans, la regarda par-dessus ses lunettes. Il était grand, avec des cheveux poivre et sel soigneusement coiffés en arrière, et une barbe légèrement grisonnante qui ajoutait à son air austère. Son visage portait les marques du temps, avec des rides profondes qui encadraient des yeux bleus perçants, remplis de sagesse mais aussi d’une froideur détachée.

– Bonjour monsieur, murmura Mariana, la voix tremblante.

– Bonjour, répondit-il d’une voix monotone. Asseyez-vous.

Elle s’assit en face de lui, se tortillant les mains nerveusement sur ses genoux nus. La jupe était courte. Le bureau était encombré de livres et de papiers. Jorge la regarda un moment en silence, laissant le poids de la situation s’installer. L’étudiante était petite, mince et quelconque.

– Vous avez demandé à me voir, commença-t-il.

– Oui, professeur, dit-elle en avalant difficilement sa salive. J’ai raté mon examen… Et ma note ne me permet même pas de passer au deuxième semestre. Je…

Sa voix se brisa, et elle baissa la tête pour cacher les larmes qui commençaient à couler. Jorge l’observait, impassible, ses doigts entrelacés devant lui sur le bureau. Sous son calme glacial, un feu ardent brûlait. Il arborait une sérénité tranquille, pourtant, en lui grondait une tempête de passion.

– Continuez, dit-il froidement.

– J’étais malade, et je n’ai pas pu me préparer correctement, expliqua-t-elle entre deux sanglots. Mes parents n’ont pas les moyens de me faire recommencer. Ils ont tout sacrifié pour que je fasse des études. Je ne peux pas retourner chez moi avec cet échec.

Le silence dans la pièce devint presque tangible. Jorge resta immobile, ses yeux fixés sur elle sans la moindre compassion. Son visage ne trahissait rien, mais son cœur brûlait comme un brasier infernal. Il restait silencieux, il demeurait stoïque, mais son âme brûlait, mais son désir se consumait.

– Les règles sont les règles, dit-il enfin. Vos excuses, bien que compréhensibles, ne changent rien à votre situation académique.

Mariana sentit le sol se dérober sous ses pieds. La distance froide de Jorge contrastait cruellement avec son désespoir. Elle pleurait ouvertement maintenant, ses larmes tombant sur ses mains tremblantes.

– Mais… Je suis prête à faire n’importe quoi pour réussir, professeur. S’il vous plaît…

Il la regarda longuement, évaluant sa détresse avec une indifférence clinique. Sous ses yeux calmes bouillonnait une âme ardente qui allait se soumettre. Il le savait. Il avait l’habitude. Puis, après un moment qui sembla durer une éternité, il parla de nouveau.

– Revenez mercredi soir. Nous verrons ce que nous pouvons faire pour améliorer vos compétences.

MERCREDI SOIR ARRIVA TROP RAPIDEMENT POUR MARIANA. Elle se retrouva de nouveau devant la porte du bureau du professeur Carvalho, cette fois-ci le cœur encore plus lourd de nervosité. Elle avait passé les derniers jours à se torturer l’esprit, imaginant toutes sortes de scénarios. Son désespoir la poussait à s’accrocher à cette ultime chance. Ayant intériorisée son offrande, la jeune étudiante s’était accoutrée d’un mini short et d’une brassière trop moulante pour sa belle poitrine.

Elle frappa doucement à la porte.

– Entrez, répondit la même voix grave.

Elle entra et trouva le professeur assis à son bureau, l’air toujours aussi impassible. Il ne leva même pas les yeux de ses papiers lorsqu’elle s’assit en face de lui. Il était un lac gelé à la surface, mais en profondeur, la lave de ses désirs bouillonnait.

– Bonsoir, professeur, dit-elle, la voix plus faible qu’elle ne l’aurait souhaité.

– Bonsoir, répondit-il sans lever les yeux. Avez-vous apporté vos notes?

– Oui, les voici, dit-elle en posant timidement un carnet devant lui.

Jorge les prit sans un mot et commença à les feuilleter. Mariana observait ses moindres mouvements, cherchant un signe de compréhension ou de clémence sur son visage, mais n’en trouva aucun. Il finit par poser le carnet et la regarda enfin. Était-ce la peur ou l’excitation, mais les mamelons de l’étudiante perçaient la brassière moulante.

– Vous avez beaucoup de retard, dit-il froidement. Nous devrons van escort travailler dur pour rattraper cela.

– Je ferai tout ce que vous demandez, professeur, dit-elle précipitamment. Je ne veux pas échouer.

Un léger sourire, presque imperceptible, se dessina sur les lèvres de Jorge. C’était la première fois qu’elle voyait une quelconque expression sur son visage, mais cela ne la rassurait pas.

– Très bien, dit-il en se levant de sa chaise.

Marianna le regarda par en-dessous passer derrière elle, dans son dos. Un filé d’angoisse coula dans son ventre.

– Vous allez écrire sur votre carnet ce que vous êtes prête à faire pour pouvoir passer au deuxième semestre.

Mariana hocha la tête, sentant une étrange combinaison de soulagement et d’angoisse. Son esprit nageait dans une clarté obscure, entre incompréhension et surprise. La certitude de ses convictions se heurtait violemment à l’absurdité de la demande.

– Monsieur… je… je ne…

– Ecris ce que tu es prête à faire pour passer en deuxième trimestre, coupa le professeur debout derrière elle.

Il lorgnait au-dessus des frêles épaules pour contempler la naissance de nichons qui promettaient. Elle était à la fois paralysée par l’incrédulité et emportée par une vague de confusion.

Elle nota : « Je vais travailler tous les jours et toutes les nuits. Je vais lire tous les livres conseillés. Je vais écouter les conseils de mon professeur. »

– Montre-moi ce que tu écris, murmura le professeur qui se penchait au-dessus de son épaule en se tenant au dossier de la chaise. Mmm, tu penses que cela va suffire pour que je te laisse passer en deuxième semestre? Qu’es-tu prête à faire pour moi?

Elle écoutait, elle hésitait, elle comprenait, elle doutait. Ce qu’on lui demandait semblait inimaginable, inimaginable et pourtant dit. Sa tête tournait, incapable de saisir l’invraisemblance des mots entendus. L’angoisse de Mariana était palpable, une présence étouffante qui enserrait sa poitrine comme un étau. Les mots de Jorge, froids et détachés, tournaient en boucle dans son esprit, accentuant son désespoir. Les larmes commencèrent à couler lentement, traçant des sillons brillants sur ses joues dorées. Elle tenta de les retenir, mais elles débordèrent, incontrôlables, des cascades salées qui reflétaient sa détresse. Chaque goutte tombait lourdement sur ses mains tremblantes, mouillant les pages du carnet. Mariana se mordit la lèvre, cherchant à étouffer les sanglots qui montaient, mais en vain.

– Crois-tu que tu puisses écrire ce que je veux avec l’ancre de tes yeux?

Les épaules frêles de la jeune étudiantes se secouaient de spasmes, sa respiration se faisait haletante. La pièce semblait se refermer sur elle, la plongeant dans une solitude glaciale. Elle sentait son avenir s’effriter entre ses doigts, et cette impuissance totale la submergeait. Le crayon obéissait malgré elle, inscrivant des mots qu’elle rejetait de tout son être. Chaque lettre qu’elle formait pesait une tonne de réticence.

« Je suis prête à vous obéir. »

– Mais encore? murmurait le professeur sadique qui touchait presque la joue humide de son étudiante.

« Je suis prête à faire ce que vous voulez. »

Elle écrivait des mots qu’elle ne voulait pas lire, des mots qu’elle ne pouvait ignorer.

– Ce n’est pas très précis cela…

« Je suis prête à me… »

La main tremblait tant, qu’elle ne pouvait former correctement les lettres. Mais pourtant, sa main, traîtresse, inscrivit des ignominies qu’elle refusait d’admettre.

« … mettre nue devant mon professeur. »

Elle avala sa salive quand elle entendit Jorge Carvalho lui demander cinq propositions. Elle n’écrivait pas avec entrain ; chaque mot semblait arraché de son âme.

« Je suis prête à me laissé touché par mon professeur. »

« Je suis prête à caressé mon professeur. »

« Je suis prête à masturbé mon professeur. »

« Je suis prête à faire l’amour avec mon professeur. »

« Je suis prête à être la maitresse de mon professeur. »

– La dernière est superfétatoire. Une autre?

« Je suis prête à sucé mon professeur. »

LE PROFESSEUR JORGE CARVALHO se tenait devant l’amphithéâtre, une centaine de visages tournés vers lui. La grande salle était remplie de murmures excités qui s’évanouirent lorsqu’il prit place à son bureau. Son sourire inhabituel attira immédiatement l’attention. Jorge, d’ordinaire sévère et réservé, affichait une expression guillerette qui contrastait avec son attitude habituelle.

– Aujourd’hui, nous allons continuer notre exploration des biais cognitifs, annonça-t-il d’une voix plus enjouée que d’habitude.

Les étudiants échangèrent des regards surpris. Les jeunes femmes au premier rang, en particulier, chuchotaient entre elles, intriguées par ce changement d’humeur. Jorge, d’ordinaire un modèle de rigueur et de froideur, semblait presque… heureux. Il poursuivit sa présentation, abordant les détails des biais de confirmation yalova escort et de disponibilité avec une énergie inhabituelle.

– Prenons un exemple pratique, dit-il en souriant. Imaginez que vous vous préparez pour un examen. Vous avez étudié toute la nuit et vous êtes convaincu que vous avez tout retenu. Pourtant, vos biais cognitifs peuvent influencer votre perception de votre propre préparation…

Les mots coulaient de sa bouche avec une fluidité nouvelle, ses gestes étaient plus amples, presque théâtraux. Les étudiants étaient captivés, non seulement par le sujet, mais par cette métamorphose intrigante. Certains se demandaient ce qui avait pu provoquer ce changement chez leur austère professeur.

Sous le bureau de l’amphithéâtre, Marianna a attendu pendant presqu’une heure. Sa bouche pulpeuse s’ouvrit devant le gland du professeur. Elle tira la langue pour goûter au sexe. Jorge sentit sa queue s’exciter sous la caresse humide. L’étudiante avala la tige qui se raidit. Ses lèvres firent un anneau autour de la chair. Sa poitrine se durcit et son ventre papillonna malgré elle. Sa bouche longeait méthodiquement la colonne de chair qui commençait à palpiter. Ses mains accompagnaient son mouvement et ses doigts serraient le gland.

L’enthousiasme de Jorge était contagieux. Même les étudiants les plus endormis dans le fond de la salle semblaient revigorés par cette énergie inattendue.

– La psychologie est une science fascinante, continua-t-il, ses yeux brillant d’une lueur intense. Comprendre nos propres biais, c’est comme découvrir les rouages cachés de notre esprit. Cela nous permet de nous améliorer, de nous voir tels que nous sommes vraiment.

Les étudiants buvaient ses paroles, absorbant chaque mot. Marianna avalait le sperme qui coulait au fond de sa gorge. La cloche sonna la fin du cours. Jorge, avec une dernière remarque optimiste, libéra les étudiants, qui se levèrent en un murmure collectif de discussions excitées. Alors qu’ils quittaient l’amphithéâtre, certains se retournaient encore, curieux de cet homme qui, aujourd’hui, avait révélé une facette si différente de lui-même.

MARIANA SE TROUVAIT UNE NOUVELLE FOIS dans le bureau du professeur Carvalho. L’atmosphère était lourde. Le professeur, assis derrière son bureau, la scrutait de ses yeux perçants.

– Déshabille-toi salope!

Mariana hésita un instant, ses joues rougissant légèrement. Elle obéit néanmoins, retirant lentement ses vêtements, révélant une silhouette délicate. Jorge la regarda sans expression particulière, comme s’il notait simplement un fait banal. Intérieurement il appréciait qu’elle tente de cacher son sexe et ses seins.

– Bien, commençons, dit-il en désignant une pile de livres sur son bureau. Assieds-toi sur la chaise et branle toi. En même temps, tu lis les notes suivantes. Ensuite, nous ferons des exercices pratiques.

Mariana hocha la tête, dubitative. Mais que faire quand l’inéluctable s’impose? Elle posa ses petites fesses sur la chaise, écarta ses jambes et, du bout des doigts, elle roula autour de son clitoris. En même temps, s’immergea immédiatement dans la lecture, déterminée à ne pas décevoir. Jorge Carvalho écrivait à son bureau sans tenir compte de la présence de la jeune étudiante.

Les heures passèrent dans un silence tendu, ponctué seulement par les chairs humides du sexe de Marianna et sa propre lecture. La nuit commençait à tomber lorsque Jorge se leva soudainement.

– C’est tout pour aujourd’hui, dit-il. Vous progressez, mais il reste encore beaucoup de travail.

Mariana le regarda, reconnaissante malgré la tension. Jorge se posta devant elle, sortit sa queue et se branla. Tétanisée devant la désinvolture de son professeur qui ne faisait aucun cas de sa susceptibilité, Marianna fixa la verge. Comment pouvait-elle désirer tant ce sexe et éprouver tant de dégoût pour la situation? Quand le sperme s’étala sur son ventre et sa poitrine, l’étudiante poussa un petit cri. Le liquide visqueux coulait sur sa peau quand le professeur boutonna son pantalon.

– Venez chez moi demain soir, ajouta-t-il, brusquement en sortant du bureau. Nous continuerons là-bas. Vous avez besoin de plus de soutien.

Surprise, Mariana acquiesça lentement en le regardant partir, sentant une nouvelle vague d’angoisse la submerger.

LE LENDEMAIN SOIR, MARIANA SE RETROUVA devant une grande maison située dans un quartier tranquille de Rio de Janeiro. Elle inspira profondément avant de frapper à la porte. Jorge ouvrit et l’invita à entrer, son expression toujours aussi impassible.

– Suivez-moi, dit-il en se dirigeant vers le salon.

Mariana s’exécuta, découvrant avec appréhension l’intérieur spacieux et luxueux de la maison. En entrant dans le salon, elle aperçut une femme assise dans un fauteuil roulant. Elle était élégamment habillée, mais son visage sévère et ses yeux durs contrastaient violemment avec sa tenue sophistiquée.

– Voici mon épouse, Regina, dit Jorge d’un ton neutre.

Regina çorlu escort la fixa avec une intensité glaciale. Elle avait des cheveux noirs soigneusement coiffés en un chignon serré, et ses traits étaient marqués par une beauté froide et rigide. Mariana se sentit immédiatement intimidée.

– Qui est cette gamine? demanda Regina, sa voix chargée de mépris.

– Une de mes étudiantes, répondit Jorge calmement. Elle a besoin d’aide pour … ses études. Elle a raté le passage au deuxième semestre.

Regina plissa les yeux, son regard perçant Mariana comme des lames.

– Une étudiante, hein? Une idiote qui ne sait même pas réussir ses examens. Pathétique.

Mariana baissa les yeux, se sentant comme une idiote réprimandée. Les mots de Regina la blessaient profondément, mais elle n’osa pas répliquer.

– Ne t’occupe pas d’elle, dit Jorge en se tournant vers Mariana. Déshabille-toi pour continuer ta formation.

Le cœur de l’étudiante s’arrêta. Marianna était à la fois figée de stupeur et brûlante de révolte devant cette demande épouvantable. Elle entendit la demande avec horreur, elle répondit au choc avec silence en baissant la tête. Jetant un dernier coup d’œil à Regina, qui la regardait toujours avec dédain dans son fauteuil roulant, la jeune femme se dit qu’elle était dans une maison de fou.

– En plus d’être nulle en étude, elle est stupide et ne comprend pas ce qu’on lui dit, grinça la femme de Jorge qui roula vers l’étudiante.

Elle attrapa le pan de la jupe longue et bariolée de Marianna et tira violement d’un coup. Le tissu se déchira. En culotte blanche au milieu du salon, il ne restait que la chemise à grand col sur le dos de l’épouvantée. Prestement, elle ôta le reste de ses vêtements avant qu’ils ne soient tailladés.

Nue entre le professeur Carvalho et sa femme, l’étudiante drapait sa pudeur de ses mains sur son pubis et ses seins. Le mari et l’épouse la fixaient avec intensité.

– Elle est nulle, elle est stupide et en plus, elle n’est même pas très belle, jugea méchamment Régina.

Mariana se sentait blessée, elle se sentait trahie, elle se sentait humiliée par l’insulte. Elle reçut l’insulte avec stupeur, elle porta la blessure avec dignité en redressant la tête avec volonté. Jorge s’amusa de ce premier mouvement de rébellion. Il traversa le salon passant devant la jeune femme nue et tendit un bout de papier à sa femme.

– Regarde ce que cette salope a écrit il y a quelques jours.

Régina lut à voix haute le papier :

« Je suis prête à me laissé touché par mon professeur. »

« Je suis prête à caressé mon professeur. »

« Je suis prête à masturbé mon professeur. »

« Je suis prête à faire l’amour avec mon professeur. »

« Je suis prête à sucé mon professeur. »

Le regard noir de l’épouse se releva sur la chose dénudée qui était plantée au milieu du salon. Mariana aurait pissé de peur. Le regard de Régina la terrifiait, et dans cette terreur, elle voyait Régina. La jeune femme sentait une froide chaleur dans ce regard perçant.

– Elle est nulle, elle est stupide, elle est quelconque et en plus elle fait des fautes d’orthographe! ricana Régina.

Mariana tourna vivement son regard vers son professeur à la recherche d’un secours, d’une aide, d’un réconfort. Mariana frémissait de peur, mais Jorge demeurait impassible. Jorge restait si de marbre que même un tremblement de terre ne l’aurait pas fait bouger.

– Au moins baise-là! Elle servira à quelque chose.

Jorge se colla à Mariana et ses mains qui cachaient ses seins avant d’embrasser son étudiante qui consentit à se laisser faire. La longue langue râpeuse du professeur envahit la bouche féminine alors que les mains calleuses palpaient les jeunes hanches. Régina calla son fauteuil roulant bien en face de la scène. Elle observait les élans libidineux de son époux.

Il dégrafa son pantalon et exposa son pénis déjà en érection. Il agenouilla son étudiante et les veines impressionnèrent la jeune fille avant d’introduire la chair dans sa bouche. Il baisa la gorge un bon moment en se tournant de temps en temps vers son épouse avec dans le regard un air malsain.

Il plaqua son étudiante, face contre un mur du salon et pénétra sa bite mouillée de bave dans le sexe broussailleux. Régina entendit le gémissement de la jeune femme et sentit son ventre frémir. Mariana subit la bite de son professeur qui s’arrimait à ses hanches pour mieux s’enfoncer. Le grincement du fauteuil roulant qui s’approchait de la scène troubla l’étudiante. Elle ne couinait pas mais les gémissements de Jorge cassaient ce funeste silence lorsqu’il se répandit dans son vagin violé.

– Elle est comment? demanda Régina qui caressait son mari.

– Sa chatte est bien serrée. Elle mouille la salope!

La vieille épouse se tourna vers l’étudiante toujours penchée contre le mur, les fesses en arrière.

– Viens-là sale pute!

Tremblante, Mariana pleurait. Elle approcha devant Madame Carvalho. Cette dernière saisit une touffe de poils pubiens et les arracha. L’étudiante tomba à genoux de douleur.

– Tu es une salope! cria Régina les poils dans sa main. Tu as fait jouir mon mari devant moi. Tu n’as pas honte?

Elle lui balança une gifle magistrale.

– Fous le camp de chez moi, sale pute!

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